Films
El bar (Pris au piège)
Madrid, 9 heures du matin. Des clients, qui ne se connaissent pas sont dans un bar. L'un d'entre eux sort et se fait tirer dessus, les autres se retrouvent bientôt prisonniers du bar.
Séance du 19 Juin 2017 pour le Festival "Dífferent! 10" à Paris.

Balada triste s'inscrit dans la continuité de l’œuvre d’Alex de la Iglesia qui revient, film après film, sur les mêmes thèmes. De Mes chers voisins à Mort de rire, il est toujours question d'un affrontement démesuré et sanguinaire entre deux individus ou deux groupes. Ces antagonismes permettent au réalisateur de dessiner le portrait... Lire la suite

Le dernier film d'Alex de la Iglesia, Crimes à Oxford, est l'adaptation du roman Crímenes imperceptibles (publié en Espagne sous le titre de Los Crímenes de Oxford) de l'argentin Guillermo Martínez. Le synopsis est le suivant : Martin (Elijah Wood), un étudiant américain, se rend à Oxford afin de demander à un éminent professeur de... Lire la suite

Dans Balada triste vous abordez le thème de la guerre civile alors que votre cinéma s’était peu penché sur l’histoire de l’Espagne. Il s’agissait pour moi de mettre en images ma façon de voir le passé et la guerre civile. Le clown triste, Javier (Carlos Areces), éprouve comme moi des sentiments de haine et de vengeance dont nous... Lire la suite

Comment est née l'idée de Crimes à Oxford ?Gerardo Herrero, le producteur de La Méthode de Marcelo Pineyro et de El Aura de Fabian Bielinsky, a pensé à adapter le roman Mathématique du crime de l'écrivain argentin Guillermo Martinez. Quand il m'a proposé le projet, je venais d'en terminer la lecture. Simple coïncidence! Le transposer sur... Lire la suite

Né à Bilbao en 1965, Álex de la Iglesia exerce tout d'abord ses talents dans la BD, ce qui lui ouvre la porte du cinéma en tant que décorateur puis directeur artistique. En 1991, son court-métrage Mirindas Asesinas est remarqué par Pedro Almodovar qui produit son premier long, Acción mutante, en 1992 : à travers une approche gore... Lire la suite

Le cinéma fantastique et d'horreur espagnol s'affirme depuis quelques années comme le meilleur d'Europe. Les succès de films tels que L'orphelinat, Grand Prix au festival du film fantastique de Gérardmer, et le dernier Balagueró (co-réalisé avec Paco Plaza), [REC], le confirment amplement. Et pourtant, l'âge d'or se situe plutôt vers la... Lire la suite

À l'origine du film, il y a un scénario machiavélique et passionnant, qui pouvait annoncer une mise en image tout aussi machiavélique et passionnante! Roberto (José Mota), au chômage comme beaucoup de ses semblables, tente sans succès de renouer avec d'anciennes connaissances professionnelles qui lui ferment la porte sans vergogne.... Lire la suite

El Día de la Bestia (1995), La Comunidad (2000), El Crimen ferpecto (2004), Balada triste de trompeta (2010)... de la comédie au mélo, en passant par le thriller et le western, Alex de la Iglesia s'est essayé à tous les genres. Lire la suite

Le thème du film En principe, lorsque je commence un film, je n'ai pas d'intention précise. C'est tout le contraire : j'ai une idée assez abstraite de ce que je veux faire. Pour Mi gran noche, je crois que Jorge (N.D.R.L : Guerrica Echevarría, co-scénariste) et moi avons toujours été à la recherche d'une comédie... Lire la suite